Par Le National |
Le Massage érotique vu par SoftDan.Depuis une semaine, je vivais une peine affreuse. Ma première nuit damour dans les bras dun homme que jaimais pourtant profondément avait été désastreuse. Javais lu le dégoût dans ce visage aimé, qui se disait pourtant bi. Mis à part son sexe en érection, rien ne se passait. Ni mes mains, ni ma bouche ne parvenaient à le faire jouir. Et pourtant jy mettais toute lardeur, toute la sensualité, toute la passion qui me caractérisent. Il navait même pas daigné mexpliquer, sexcuser. Un silence immense qui foutait par terre mon ego, ma confiance en moi. Après avoir versé toutes les larmes de mon cur brisé, jai fini par me dire que je nallais pas ainsi pleurer toute ma vie sur une première expérience ratée. Jai donc décidé dappeler un ami pour linviter à venir prendre une bière avec moi dans un bar de danseurs. Je savais déjà que je lui plaisait beaucoup. Et lui connaissait mes récents déboires. Alors que nous prenions tranquillement notre bière en observant les danseurs qui évoluaient sur la scène, il mexpliqua que mes attentes étaient beaucoup trop grandes. Je voulais vivre à la fois lamour et une première expérience sexuelle complète. Il savait que mon ego en avait pris un sacré coup. Je doutais de mes capacités à faire jouir un homme ou même à jouir des mains dun homme. Aussi, moffrit-il tout simplement de laccompagner chez-lui et de moffrir un massage érotique. Il était convenu à lavance que nous ne baiserions pas ensemble et que cela ne signifiait pas la signature dun contrat de mariage. Javais entière confiance en lui, et jacceptai avec joie. Je le suivis jusque chez-lui. Après mavoir fait visiter son appartement, nous sommes descendus au sous-sol. Je remontai quelques minutes plus tard pour aller vider ma vessie. Lorsque je redescendis, il avait déployé un futon sur le sol et avait tamisé léclairage. Il me demanda de minstaller pendant quil allait à la salle de bain à son tour. Je me suis déshabillé, ne gardant que mon boxer. Une certaine pudeur, mais aussi à la fois le plaisir de le laisser me lenlever. Jétais couché à plat ventre. Il se déshabilla à son tour, ne gardant que son t-shirt. Par contre, je ne le voyais pas ayant le visage tourné vers le sol. Il se plaça derrière moi, et posa ses mains sur mon dos. Ses gestes étaient doux et très tendres. À maintes reprises, il accompagnait ses gestes de doux baisers. Jétais détendu, béat, me sentant immensément désiré. Après mavoir massé le dos, il enleva mon boxer. Il massa mes fesses, les embrassa. Puis je le sentis se coucher sur moi. Il avait enduit sa queue dhuile et la faisait passer et repasser contre mes fesses. Il referma mes jambes et se masturba quelques instants entre mes cuisses. Son gland venait doucement sappuyer sur mes testicules. Je le sentais durcir de plus en plus, heureux de sentir le désir que jallumais en lui. Il était si doux, si tendre, si attentionné. Enfin je recevais ce que javais tant espéré dun homme. Un homme qui savait être tendre et viril à la fois. Une complicité si extraordinaire. Puis, il me fit retourner sur le dos. Il caressa mon torse, embrassa puis suça mes mamelons qui se dressèrent furieusement. Tout doucement, il descendit jusquà ma queue, en me complimentant. Il enduisit ses mains dhuile et commença à me masturber. Comme cétait bon. Je bandais comme un cerf. Il massa mes couilles, son doigt venant parfois effleurer ma rosette. Jaurais crié de joie, mais malheureusement, son co-locataire était là, et comme il ne savait pas quil était gai, nous devions être prudents. Jouvris les yeux et le vis se masturber, puis prendre nos deux queues lune contre lautre, les masturbant en chur. La scène mexcitait terriblement. Puis, javançai ma main et commençai à le masturber à mon tour. Sa queue était de belle taille et son excitation faisait grandir encore plus la mienne. Nous nous sommes couchés tous les deux sur le côté, ma tête senfouissant au creux de son épaule, nos joues se frôlant. Nous avons continué à nous masturber ainsi, nos glands se touchant. De temps à autre, il caressait mon torse, me pinçait doucement un mamelon. Jétais ivre de bonheur. Puis, il se coucha sur le dos. Je magenouillai devant lui et pu satisfaire mon envie de le caresser, de le masturber, avide de le voir bander encore plus, de sentir sa queue vibrer dans ma main. Jenserrais ses couilles dans ma main, tout en exerçant une pression plus accrue sur sa queue. Il me disait que cétait bon, quil aimait le plaisir que je lui procurais. Javais une irrésistible envie de prendre cette queue si merveilleuse dans ma bouche. Je lui ai dailleurs dit que cétait une véritable torture de ne pas le faire. Mais il me dit de respecter notre entente. De jouir pleinement de ce que nous avions convenu de faire. Je continuai à le caresser. Je sentis monter les premiers frémissements. Il allait jouir. Il me le dit dailleurs. Japposai à mon tour mon doigt sur sa rosette, geste qui augmenta encore plus son excitation. Jaurais crié de joie lorsquil éclata, son sperme se répandant sur son ventre. Oui, je pouvais faire jouir un homme. Et sa jouissance me procurait une joie immense . Il recommença ensuite à me caresser. Je connaissais déjà le plaisir de retenir le plus longtemps possible le moment de léjaculation. Et je voulais prolonger ses instants divins. À plusieurs reprises jai failli jouir, mais me retenais. Il était à ce point excité quil me dit quil allait jouir à nouveau. Il masturbait simultanément nos deux queues, bandées au maximum. Puis, il jouit une seconde fois, son sperme coulant de sa main pour atterrir sur ma cuisse. Cette simple sensation me comblait au plus haut point. Il était littéralement vidé, crevé. Il me demanda de me masturber, se complaisant à me regarder. Mais, javais trop retardé le moment de léjaculation. Javais dépassé le point de non-retour. Javais un peu honte de moi. Je me demandais ce quil allait penser. Mais il me rassura en me disant que ce nétait pas une obligation. Je navais pas joui, mais jétais dans un tel état de béatitude. Il avait su reconstruire mon ego, réaffirmer ma confiance en moi, en ma capacité de plaire et de faire jouir. Je garderai toujours un souvenir très intense de ces moments si importants pour moi. Jétais maintenant prêt à passer aux choses plus sérieuses .. Avant de le quitter, je le remerciai chaleureusement. Et jécris cette histoire aujourdhui pour perpétuer à tout jamais le doux souvenir de ces tendres moments. SoftDan, 7 janvier 2001 Mon ego tourmenté Mais toi cher ami Sans engagement, pour le plaisir Tu as renforcé ma foi Merci très cher ami-professeur
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