Par Le National
© Roger-Luc Chayer / Le National


Le National bat ses records de tous les temps et est maintenant plus lu que Fugues au Québec! Le Centre communautaire des sourds de Montréal lance un appel public! Le Centre Hospitalier Universitaire de Montréal n'est plus capable de traiter les patients externes faute de budget! Et le Conseil de Presse Gai du Québec; deux nouveaux postes!

 

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Oui, la question ne se pose plus, le National est devenu officiellement en février 2000, le plus important média d'information gai au Québec et ce, dans toutes les catégories dont les publications sur support papier (Fugues, RG, VOX-POP, Orientations, etc) et les médias électroniques (radios, télés et web). Avec près de 70 000 visites, le National dépasse largement les 50 000 copies de Fugues et les 11 500 de RG, les deux références habituelles dans le domaine.

Le National a certainement eu un solide coup de pouce de l'organisme GayPage awards qui le récompensait de la sélection mondiale du jour dans la catégorie des meilleurs sites webs gais au monde dernièrement mais il ne faut surtout pas oublier les lecteurs qui sont de plus en plus fidèles. D'après notre sondage maison, plus de 57% des lecteurs viennent au moins 10 fois par semaine lire leurs nouvelles.

Ceux qui ont l'habitude de lire plusieurs médias gais dans le mois ont aussi surement remarqué que le National est toujours premier quant à la sortie d'une nouvelle exclusive. En effet, après avoir analysé nos principaux concurrents dont Fugues et RG, le National sort de nombreuses semaines avant les autres publications, des nouvelles que l'on retrouve ensuite dans les médias papiers. Comme quoi le fait de n'exister que sur le web répond aux besoins des lecteurs qui veulent une nouvelle rapide et fraiche.

Mission accomplie!

D'ici peu, pour fêter un peu cette réussite unique dans l'histoire réçente des médias gais au Québec, le National annoncera une campagne publicitaire fulgurante qui ne manquera pas de répondre aux besoins des annonceurs qui voudraient utiliser notre succès pour créer le leur. Nous sommes à finaliser une nouvelle pagination et une présentation de la page d'accueil qui saura mieux répondre à ces nouveaux impératifs. Sortie d'ici peu!

 

Le Conseil de Presse Gai du Québec annonce l'ouverture de deux postes!

Le CPGQ annonce l'ouverture de deux nouveaux postes à son comité de traitement des plaintes. le Conseil étant devenu un organisme crédible quant au traitement des plaintes du public concernant l'information gaie diffusée dans tous les médias québécois, l'ouverture de ces nouveaux postes devenait plus que nécessaire, question de donner plus de poids moral à ses décisions.Les personnes intéressées à participer bénévolement à l'étude des plaintes du public peuvent soumettre leur candidature en suivant la procédure indiquée sur la page web du Conseil.

À noter que les participants ne reçoivent aucune rémunération pour leur participation et que les réunions se tiennent un maximum d'une fois par mois et qu'aucune expérience n'est nécessaire pour occuper un poste au sein du Conseil.

 

Le Centre Hospitalier Universitaire de Montréal (CHUM) n'a plus assez d'argent pour traiter les patients de ses propres médecins!

C'est une nouvelle exclusive du National qui donne en effet froid dans le dos. Les hôpitaux Notre-Dame, St-Luc et Hôtel-Dieu de Montréal, tous membres du CHUM, n'ont simplement plus un rond pour traiter les patients des médecins qui y travaillent. C'est ainsi qu'on apprenait dernièrement qu'un patient référé par un spécialiste de l'Hôtel-Dieu pour de la physiothérapie urgente pour une hernie discale cervicale était sur une liste d'attente depuis plus de 9 mois et que pendant ces 9 mois, il avait toujours été le premier en haut de la liste.

L'hôpital expliquait cette situation en affirmant, par sa responsable des plaintes des patients, que tout était du cas-par-cas, faute d'argent, «nous arrivons à peine à traiter les patients à l'interne, ceux qui sont à l'hôpital, mais pour les patients externes, nous ne savons plus où mettre de la tête. Nous n'avons pas les ressources pour traiter nos propres patients externes, il est évident que des gens soufrent et que des maladies deviennent incurables à cause de ça», affirme la porte-parole de l'Hôtel-Dieu

Quant au service de physiothérapie, même discours, «aucun patient externe n'a été traité depuis l'automne dernier et nous invitons les patients qui subissent des dommages à cause de ça à poursuivre légalement l'hôpital et le Gouvernement pour obtenir un remboursement à 100% des frais pour aller en clinique privée. C'est tout ce qui reste à faire...».

 

Le Centre Hospitalier Universitaire de Montréal (CHUM) n'a plus assez d'argent pour traiter les patients de ses propres médecins!

C'est une nouvelle exclusive du National qui donne en effet froid dans le dos. Les hôpitaux Notre-Dame, St-Luc et Hôtel-Dieu de Montréal, tous membres du CHUM, n'ont simplement plus un rond pour traiter les patients des médecins qui y travaillent. C'est ainsi qu'on apprenait dernièrement qu'un patient référé par un spécialiste de l'Hôtel-Dieu pour de la physiothérapie urgente pour une hernie discale cervicale était sur une liste d'attente depuis plus de 9 mois et que pendant ces 9 mois, il avait toujours été le premier en haut de la liste.

L'hôpital expliquait cette situation en affirmant, par sa responsable des plaintes des patients, que tout était du cas-par-cas, faute d'argent, «nous arrivons à peine à traiter les patients à l'interne, ceux qui sont à l'hôpital, mais pour les patients externes, nous ne savons plus où mettre de la tête. Nous n'avons pas les ressources pour traiter nos propres patients externes, il est évident que des gens soufrent et que des maladies deviennent incurables à cause de ça», affirme la porte-parole de l'Hôtel-Dieu

Quant au service de physiothérapie, même discours, «aucun patient externe n'a été traité depuis l'automne dernier et nous invitons les patients qui subissent des dommages à cause de ça à poursuivre légalement l'hôpital et le Gouvernement pour obtenir un remboursement à 100% des frais pour aller en clinique privée. C'est tout ce qui reste à faire...».