Par Le National
© Roger-Luc Chayer / Le National


Dans les campagnes de désinformation, la liberté d'informer est la première perdante!

Le public gai québécois et français dans une certaine mesure assiste depuis de nombreux mois à une campagne organisée par quelques individus représentant quelques associations qui, en plus de parler depuis des années au nom des gais, souhaiteraient faire disparaitre le la carte des médias ceux qui ne souhaitent pas adhérer à leurs principes.

Si pour notre part nous refusions d'adhérer aux principes défendus par ces groupes et individus qui ne totalisent qu'une fraction sur les centaines d'associations homosexuelles au Québec, c'est parce que nous considérions, au plus profond de notre coeur, que les méthodes utilisées par ces groupes ne permettent pas à la collectivité gaie de se développer dans un climat sain. Au contraire, les dénonciations et les menaces de" outing" des années passées ont certainement contribuées à induire un climat de terreur dans la communauté mais aussi auprès de ceux qui nous dirigent au Gouvernement.

Depuis des mois maintenant, certaines personnes et groupes utilisent une liste afin de faire croire au public que la simple existence du National serait un danger pour tout le monde, en nous associant à l'histoire fachiste du siècle dernier, au mépris des conséquences de ce genre de comportement pour le reste de la société qui voit dans cette campagne non pas une mesure visant à exprimer son opinion mais une manoeuvre orchestrée afin de faire fermer un média qui d'une part à toujours défendu ses lecteurs et d'autre part, voue un mépris naturel envers ceux qui sont seuls et qui parlent au nom de tous.

Voilà pourquoi nous considérons que si ces gens et associations gaies, qui demandent d'ailleurs l'argent du public pour les soutenir dans leur fausse cause (le public ne souhaite pas financer cette cause) devraient revenir sur terre et cesser leur campagne violente de diffamation à l'endroit de notre média. Les conséquences sont nombreuses mais cela nous force à nous défendre bien sur, car au risque de décevoir les gens et associations au bas de cette page, non, l'auteur de ces lignes n'est pas membre du parti Nazi, n'est pas un meurtrier ni un criminel, mon seul crime est d'avoir défendu les sidéens en phase terminale alors que vous utilisiez vos budgets et vos énergies à tout faire sauf le bien collectif.

On a souhaité provoquer une crise là où il n'y en avait pas parce que les gais n'ont plus de cause, plus de combat. Au moment venu, nous ferons la preuve que tout ce qui a été publié sur nous est faux et à ce moment-là, des choix se feront. Continuer et devoir assumer encore et toujours les responsabilités que vous fuyez ou simplement ouvrir les yeux et réaliser que la guerre contre la liberté d'information dans la communauté ne saurait masquer ou détourner l'attention de votre propre turpitude dans la gestion de la collectivité gaie. Car c'est bien la véritable raison de cette campagne, détourner les regards du public de votre façon de gérer et de faire les choses en notre nom n'est-ce pas?

En ce sens, Le National est là pour rester car nous sommes les seuls actuellement à connaître assez bien les enjeux et leurs acteurs, voilà la liberté de presse dans sa forme la plus pure! Les gens sur cette liste devront s'expliquer à la communauté d'ici peu, ils devront témoigner individuellemenr sur les actes posés en leur nom, nous savons déjà qu'on a forcé la plupart à y adhérer, pourquoi ne pas intervenir et changer la marche des choses actuellement avant qu'il ne soit trop tard et que nous perdions les acquis des dernières années, collectivement mais par la faute d'une poignée.

À vous de vous expliquer!

 Action Santé Gaie et Lesbienne de la Montérégie
 Archives Gaies du Québec
 Association des lesbiennes et des gais sur Internet (ALGI)
 Association des mères lesbiennes
 Association des motocyclistes gais du Québec (AMGQ)
 Bi Unité Montréal
 Centre communautaire des gais et lesbiennes de Montréal (CCGLM)
 La Chambre de commerce gaie du Québec (CCGQ)
 La corporation Dire enfin la violence
 Divers/Cité Montréal
 Équipe Montréal
 Fondation BBCM
 Fondation Farha
 Conseil d'administration du Forum des gais et lesbiennes syndiqués du Québec
 Gai Écoute
 Groupe AROBAS Inc.
 Groupe d'entraide multi-culturel Gai et Lesbienne
 Groupe d'intervention et de recherche social gai et lesbienne GRIS-Montréal
 Groupe d'intervention en violence conjugale chez les lesbiennes (GIVCL)
 Groupe interdisciplinaire de recherches et d'études Homosexualité et société (GIRESH-UQÀM) 
 Jeunesse Lambda
 Jeunes Adultes Gais et Lesbiennes de Saint-Hyacinthe (JAG)
 La Gang d'IRC
 La Toile Gaie Mondiale
 Maison Plein Coeur
 Priape inc.
 Répitss-UQÀM
 Site Internet "LaPlace.qc.ca"
 Table de concertation des lesbiennes et des gais du Québec (TCLGQ)

 Robert Beauchamp, directeur général, Priape inc.
 Yvan Bédard, président Onirique design
 Frédéric Bénard
 Bruno-Serge Boucher
 Réal Boucher
 Marie-Claude Carrière
 Normand Charpentier
 Philippe Colas, directeur général de la  Fondation Mario-Racine
 Kat Coric
 François Côté
 François Daoust
 Patrick Desmarais
 Richard Desrosiers
 Mario Duguay (SKY)
 Katie Duhamel
 Gloria Escomel
 Lise Fortier
 Pierre Fortin
 Éric Gélineau
 Pierre Goudreau
 Jacques Hélaouët
 Michael Hendricks et René LeBoeuf
 Alain Landry
 Stéphane Lavallée
 Réjean Lebeau
 René LeBúuf
 Daniel Lebrun
 Paul Lessard
 Danny Lizotte
 Gaétan Longpré
 Laurent McCutcheon
 Éric Messier
 Serge Morais
 Michel Morin
 Ken Monteith, Executive Director (ACCM)
 André Patry
 Jean-François Perrier
 Marcel F. Raymond, éditeur
 Caroline Rousse, directrice des relations médias, Fondation BBCM
 Bernard Rousseau, président, Priape inc.
 Robert Rousseau
 Jacques Taillefer
 Pierre-André Vaillancourt
 Pierre Valois
 Robert J. Vézina, président de la Fondation BBCM
 Pierre Viens (Unity Club)
 Éric Vinter

Le privilège de réplique