Par Le National
© Roger-Luc Chayer / Le National


La Brigade du Village ferme définitivement ses portes, malgré ce qu'affirme Fugues dans sa dernière édition!

Monsieur Stéphane Bolduc, président et administrateur de la Brigade du Village, organisme communautaire subventionné oeuvrant principalement dans le domaine des premiers secours dans le Village annonçait hier en exclusivité au National qu'il terminerait définitivement ses activités le soir même!

Contredisant le guide Fugues dans sa dernière édition qui annonçait la reprise des activités de la Brigade et une nouvelle campagne de financement, Monsieur Bolduc a exigé une rencontre avec le National ce 28 mars à 18h afin de rétablir la situation «l'article de Fugues était prématuré et contrairement à ce qui y est annoncé, la Brigade ferme définitivement ses portes et ce, dès ce soir», nous expliquait le Président Bolduc.


Stéphane Bolduc, Président de la Brigade du Village

«Je considère que je n'ai pas l'expérience requise pour administrer financièrement la Brigade et après avoir songé longuement à la situation, j'ai décidé de la fermer définitivement et de retourner à ma vie privée», affirme Bolduc dans une entrevue empreinte de sincérité et d'ouverture.

À noter qu'en décembre 1999, le principal commanditaire de la Brigade, Clearnet, retirait sa participation sans en donner les raisons et était suivi de la plupart des commanditaires-commerçants du Village.

Un élément préoccupant dans ce dossier est le comportement des gens de Fugues qui semblent toujours publier le contraire de la réalité. Pourquoi ne pas avoir vérifié l'information avant de la publier? Pourquoi toujours faire dans la plogue plutôt que d'assumer son véritable rôle d'informateur comme il prétend le faire?

Ce sont des questions auxquelles les gens de Fugues ne répondront jamais parce qu'il s connaissent aussi bien la réponse que le reste de la communauté mais il est bon, quelques fois, de souligner à Fugues que des gens se présentent comme journalistes et que les journalistes doivent respecter le guide de déontologie de la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec, membres ou pas.

Le temps consacré à ploguer, en maquillant le tout pour donner l'allure de nouvelles, serait peut-être mieux utilisé si on demandait aux journaleux de la place de lire une fois le Guide de déontologie des journalistes, ils auront peut-être le goût de traiter la nouvelle comme elle se présente plutôt que de la transformer toujours en utopie. Après tout, tout n'est pas toujours rose dans notre communauté non?