Par Le National
© Roger-Luc Chayer / Le National


Un tour du monde gai! Un policier serait à l'origine du meurtre des deux employés d'un sauna gai, le Président Mugabe intercepté par des gais, arrestations au Liban et tout sur les hémorrhoides!

D'après Gaipied

PARIS : Un CRS bute deux employés d'un sauna gay!

Lundi soir, deux employés du sauna gay parisien Euro Men's Club ont été abattus et un troisième grièvement blessé. Les premiers éléments laissaient penser à un meurtre crapuleux jusqu'à ce que le lendemain un CRS d'une quarantaine d'années avoue le double meurtre. Les policiers ont pu remonter jusqu'à lui grâce à son arme de service, laissée à l'intérieur du sauna après avoir été utilisée pour tirer sur les 3 personnes.

Marié et père de cinq enfants, le CRS a expliqué qu'il s'était rendu dans ce sauna gay qu'il fréquentait depuis plusieurs années. Ce jour là, il se serait endormi dans l'un des sous-sols et a été réveillé peu avant 22 heures par deux employés qui lui ont demandé de quitter les lieux, l'établissement venant de fermer. En remontant au rez-de-chaussée, il s'est rendu compte qu'il était le seul client restant et a vu le caissier compter la caisse, qui contenait environ 20 000 F. Pris d'une soudaine pulsion, il a ensuite décidé de s'en emparer avant d'ouvrir le feu sur les témoins "pour préserver son anonymat". Il vient d'être mis en examen pour homicides volontaires, tentative d'homicide et vol avec arme, et écroué.

 

 

D'après Gaipied

Le président du Zimbabwe pris d'assaut par des gais!

Le week end dernier, des militants d'Outrage! ont pris d'assaut la voiture du président du Zimbabwé, Robert Mugabe, en visite de deux jours à Londres, pour protester contre ses positions homophobes et son nom respect des droits de l'homme. La voiture de Mugabe a été interceptée à sa sortie du St-James Court Hotel et s'est retrouvée encerclée par quelques manifestants qui ont tout simplement tenté d'arrêter le président africain en vertu de la section 134 de la loi sur la Justice criminelle de 1998 qui autorise d'arrêter sur le territoire britannique toute personne qui a commis un acte de torture n'importe où dans le monde. Les policiers britanniques ne l'ont pas vraiment entendu de cette oreille puisque c'est finalement les 4 militants d'Outrage! qui se sont retrouvés les menottes aux poignets.

 

 

LIBAN - La police arrête cinq gays dont les ébats dans un hammam étaient retransmis sur Internet. Envoyé par OOups! La police a arrêté dans un hammam de Tripoli (Liban nord) cinq hommes dont les ébats sexuels étaient filmés et retransmis en direct sur Internet. L'arrestation a eu lieu dans les Bains turcs al-Abed, un établissement réputé dans la région. Le cameraman professionel qui filmait la scène et le propriétaire du hammam ont également été arrêtés. Le propriétaire faisait payer plusieurs "clients" au Liban. Ceux-ci pouvaient regarder les ébats en direct sur Internet grâce à un code. La loi libanaise punit l'homosexualité de peines de prison allant de deux mois à trois ans.

 

 

Hémorroides : Bilans et résultats (D'après rgl-maginfo)


Graphique de Yahoo.health

Aujourd'hui, la médecine dispose de nombreuses possibilités (tant médicamenteuses que chirurgicales) pour remédier à ce mal trop souvent passé sous silence par le patient.

Définition : Les hémorroides sont des tissus vasculaires complexes, composés de veinules, d'artérioles et de "lacs" sanguins, situés sous la muqueuse anale.

Ce qui n'est pas normal, c'est quand elles se manifestent par un saignement (au moment des selles, le plus souvent, ou juste après), une sortie de muqueuse "en boule" (permanente ou lors d'un effort), un gonflement douloureux, dû parfois à une thrombose (caillot dans l'hémorroide). Les médecins parlent alors de maladie hémorroidaire. Elle évolue par crises et peut frapper à tout âge. Il faut s'assurer par un examen minutieux - toucher rectal, anuscopie (exploration de l'intérieur de l'anus à l'aide d'un petit tube muni d'un éclairage) - que les symptômes proviennent bien des hémorroides et non d'une autre affection. Au moindre doute, surtout après quarante-cinq ans, ou en cas d'antécédents familiaux de polypes ou de cancer colique, des examens complémentaires (rectoscopie, coloscopie) s'imposent.

Les traitements Médicamenteux : anti-inflammatoires ou veinotoniques en comprimés, pommades et suppositoires ou anesthésiques locaux. Des bains de siège à l'eau froide calment aussi la douleur.

Sous surveillance et intervention médicales : Hémorroides qui saignent : injections sclérosantes (même principe que pour les varices), projection indolore d'un faisceau de rayons infrarouges, provoquant une coagulation vasculaire (deux ou trois séances nécessaires). Hémorroides qui sortent : ligature élastique (anneau placé à la base de l'hémorroide qui la fait tomber en provoquant une dévitalisation des tissus), en association parfois avec la cryothérapie (traitement par le froid), efficace, mais parfois douloureux. Thrombose : une petite anesthésie locale peut libérer le caillot, soulageant immédiatement le patient. Chirurgicaux : La chirurgie est réservée aux cas sévères (moins de 10%). L'intervention consiste à dégager les paquets d'hémorroides afin de ligaturer les petites artères qui les irriguent. Les suites opératoires, pas très agréables, nécessitent des soins locaux jusqu'à la cicatrisation complète (au bout de quatre à six semaines environ) et un arrêt de travail d'une quinzaine de jours. Ce traitement radical donne, en général, d'excellents résultats. Les récidives sont, en effet, exceptionnelles.

Les facteurs "incriminés" Tout, ou presque, a été accusé de favoriser les poussées hémorroidaires : épices, alcool, abus de café, sédentarité ... Chacun sa sensibilité. Ce qui provoque une crise chez l'un ne fera rien à l'autre. En revanche, l'hérédité (certaines familles sont plus touchées) et les épisodes de la vie génitale (grossesse, accouchement, règles) jouent bien un rôle. Mieux vaut enfin manger équilibré et boire assez pour avoir un bon transit intestinal : la constipation n'arrange rien, pas plus que la diarrhée (bannir tout laxatif irritant).

A. Perraudin - J. Denis (Service de proctologie Hôpital Léopold-Bellan Paris